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de temps en temps, a par lire, dessiner et Wow =') il m'arrive d'ecrir de tous et de rien. je vien de finir mon 1er chapitre d'une petite histoire et j'ais plein d'idée voila le 1er chapitre :

Le village était en feu, les toits des maisons brûlaient pendant que les gardes noirs de la Légion Ardente pourchassaient les derniers habitants. Tout n’était que désolation et ruine. Les râles d’agonie, les pleurs et les cris des villageois se faisaient encore entendre par-dessus le vacarme des démons occupés à tout détruire sur leur passage.
Un jeune homme se cachait dans l'armoire du dernier étage de l'auberge. Son maître lui a conseillé de resté caché ici, puis il était sorti pour protéger le village pendant qu’il était encore temps mais les démons étaient trop nombreux et malgré des sorts à la puissance dévastatrice, il fut l’un des premiers à tomber sous la furie des agresseurs.

Le jeune homme retenait des larmes, ne sachant pas comment se sortir de ce cauchemar. Il maîtrisait bien deux ou trois techniques mais il n’était qu’un apprenti et ses pouvoirs prometteurs n’avaient pas encore atteint une pleine maturité. Soudain, un démon à la face cornue surgie dans la pièce, et devinant le gamin recroquevillé caché dans la penderie, s’élança pour ajouter un mort de plus a son terrible forfait nocturne. Le jeune Elfe de la nuit disparue dans un nuage de fumé en un clin d'oeil et devenu aussi invisible que l'aire. Si, l’enfant pensait abattre un garde noir avec un simple tour de passe passe, il en fut pour ses frais. Le démon ne fut que simplement surpris quelques secondes mais cela permis au jeune aprenti de s’enfuir en direction de la forêt. Le guerrier cornu à la face rougeaude ne le rechercha même pas, l’enfant ne représentant peut-être pas finalement un grand intérêt alors qu’il restait bon nombres d’adultes à dévorer.

Cacher à l’orée du bois, Fläy surveilla quelques instants le village désert. Puis quand il fût sur de l’absence des démons, il se dirigea lentement vers l'imposant arbre au centre du village. La plupart des habitations de par chez lui été ainsi ; un arbre immense, creux avec plusieurs étages et qui servais d'habitation. Un trou bien circulaire en guise d'entrée, et un escalier, à l'exterieur, qui monter le long du tronc donnant l'impression d'un serpent senroulant autour de l'arbre. Arrivé sur le pas de la porte, les larmes lui montèrent aux yeux quand il réalisa que Jannok ne serait plus jamais là pour l’accueillir, le gronder ou encore le conseiller dans ses études. Après une profonde inspiration visant à la fois à ce donner du courage et à lutter contre son angoisse grandissante il franchit le seuil de la demeure. Tout était dans un incroyable désordre, le signe du passage des démons.
Dans sa chambre, il ne récupéra qu’une cape de cuir grise et ces affaires, c’est-à-dire , un encrier, et un petit couteau à fine lame, puis se dirigea vers l’étude de son maître et la bibliothèque. Dans le laboratoire tout était cassé, les fioles, les potions, l’astrolabe et les autres équipements, Le jeune elfe cherchait quelque chose de précis qu’il ne tarda pas à trouver : la sacoche sans-fond dans laquelle il pourrait mettre tout ce qui lui sera utile pour se rendre à la citadelle violette. Il récupéra également des herbes médicinales, divers composants de techniques qui lui semblaient intéressant. Au moment de sortir de la tour, il se rendit compte que quelque chose n’allait pas : l’odeur méphitique ne s’en allait pas malgré les fenêtres et la porte grandes ouvertes et il entendait des petits bruits comme si quelque chose de dur crissait contre la pierre. Se retournant pour chercher la provenance des bruits, il tomba nez à nez avec la gangrebête. Un mètre soixante au garrot, elle était près à lui sauter dessus mais il ne lui laissa pas le temps. Dès qu'il l’aperçut, il utilisa une technique mineur, mais très utile que l’elfe maîtrisait parfaitement, il tendit un bras déterminé vers son énemi et la bête se mie à courir et gémir violament tous en se cognant contre les murs, elle grognais mais ne s'arrété pas de courir. Elle devait chercher quelque chose, et se quelque chose été sa vue ! Ravi d'avoir réussi a la perfection son sort de cécité, Fläy sorti de la batîsse et sans demander son reste il courut vers le lieu de la bataille. Son maître posséder des artefacts et même si cela le révulsait de dépouiller un mort, mieux valait lui plutôt que des pilleurs de tombe.

Arriver sur la grande place du village, il avisa le corps torturé de son vieux maître chauve. En se rapprochant, il prit conscience de la tenue en lambeaux, et de la cage thoracique ouverte ou s’échappée les viscères du maître Voleur. Cependant le plus terrible pour le jeune apprenti fût le visage figé du thaumaturge dans une grimace de terreur, les yeux grands ouverts comme une dernière malédiction vers son assassin. Répugnant à faire ce qu’il devait faire, il enleva l’anneau magique du doigt du mort. Jannok lui avait expliqué que c’était un anneau améliorant les qualités du porteur tans les qualités physique que magique. De toute façon Jannok n’en aurait plus besoin au contraire du jeune elfe. La bile commençait à lui remonter à la gorge et il détourna la tête, c’est alors qu’il remarqua le bâton du mage brisé en deux et son épée, le cadeau d’un plus haut gradé que lui pour un service rendu. Il ramassa l’épée puis sans un regard en arrière, sans même une tentative d’enterrer les personnes qui l’avait accueilli dans leur village quelques années auparavant, il laissa tout cela derrière lui et entreprit son voyage vers Dalaran. Son visage aux traits fins était de marbre, ses yeux bleu turquoise étaient remplis de colère, même ses longues et élégantes oreilles frémissaient signe d’une profonde irritation. Pourtant la dernière émotion visible du jeune thalassien, avant de quitter définitivement les restes du village de Dolnaar, fût une larme coulant sur sa joue.

.... To be continu

c'est troppppp biennnnnnnnnnnnnnn

jveux la suiteeeeeeeeeeeeeeee

(j'ecris mais...'est ptit deja et disons sexuel...)

lol